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Réflexion éthique sur la prolongation de la vie pour fin de don d'organes

dc.rights.licenseOTHen_US
dc.contributor.authorBERT, Catherine
dc.date.accessioned2021-09-23T14:08:04Z
dc.date.available2021-09-23T14:08:04Z
dc.date.issued1994
dc.identifier.urihttps://luck.synhera.be/handle/123456789/1166
dc.description.abstract« Il faut bien admettre, en effet, que la personne en coma dépassé est a la fois morte et vivante. Il faut qu'elle soit vivante, puisque telle est la condition pour prélever des organes «frais», en bon état de fonctionnement. Il faut bien admettre d'autre part qu'elle soit morte, sous peine d'avoir à reconnaître que l'on retire la vie aux uns, en les privant d'organes vitaux, pour maintenir d'autres personnes en vie.»en_US
dc.description.sponsorshipOTHen_US
dc.language.isoFRen_US
dc.publisherUniversité du Québecen_US
dc.relation.ispartofFrontièresen_US
dc.subjectEthiqueen_US
dc.subjectDon d'organesen_US
dc.subjectFin de vieen_US
dc.titleRéflexion éthique sur la prolongation de la vie pour fin de don d'organesen_US
dc.typeArticle scientifiqueen_US
synhera.classificationSciences de la santé humaine>>Multidisciplinaire, généralités & autresen_US
synhera.institutionHE Léonard de Vincien_US
synhera.otherinstitutionUniversité de Namuren_US
synhera.otherinstitutionUCL - Université Catholique de Louvainen_US
dc.description.versionOuien_US
dc.rights.holderUniversité du Québecen_US


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