dc.rights.license | CC5 | en_US |
dc.contributor.author | BULLENS, Quentin | |
dc.contributor.author | Price, Sandra | |
dc.contributor.author | Sion, Véronique | |
dc.date.accessioned | 2023-09-12T13:11:10Z | |
dc.date.available | 2023-09-12T13:11:10Z | |
dc.date.issued | 2013-05-15 | |
dc.identifier.uri | https://luck.synhera.be/handle/123456789/1980 | |
dc.description.abstract | La méthode d’entrevue d’investigation non suggestive inspirée de celle du NICHD a été proposée aux équipes SOS Enfants depuis deux ans, dans le cadre d’un partenariat avec Le Centre d’Expertise Marie-Vincent. Six intervenants issus de 3 équipes ont été sensibilisés à cette pratique. Depuis, chacun a poursuivi son application. Le fonctionnement de chacune des équipes dépend fortement de l’arrondissement judiciaire dans lequel elles se situent tant du point de vue des mentalités que de la population et de son contexte (rural, urbain, etc.). Ainsi, certaines équipes n’interviennent que très rarement en première ligne, à l’opposé d’autres, qui font exclusivement de l’évaluation. Ces différences de contextes amènent diverses réflexions et utilisations de l’outil dans la rencontre avec un enfant présumé ou victime d’abus sexuels. Ce sont ces réflexions cliniques et le cheminement de nos échanges que nous souhaitons partager pendant le symposium. Les apports de l’outil ont été souvent discutés, nous ne reprendrons pour notre part que ceux spécifiques à notre pratique clinique au sein du secteur SOS-enfants. Les réflexions qui nous animent et que nous souhaitons discuter sont les suivantes : -Les entretiens du NICHD sont riches sur le plan de la clinique. Les faits investigués et les détails amenés par la victime présumée nous renseignent sur les mécanismes de défense utilisés, sur les capacités de résilience et aident l’intervenant à repérer ce qui a fait trauma. - Une certaine liberté quant au protocole peut être prise par les intervenants dans le cadre clinique, se pose alors des questions éthiques notamment en cas de saisies judiciaires. - Une telle méthode ne devrait-elle pas être connue par tout intervenant concerné par la problématique de la maltraitance. - La méthode doit-elle s’adresser à la maltraitance physique également ? - Pourrait-elle être utilisée autant avec les victimes qu’avec les auteurs, les enfants que les ado et les adultes? - Faut-il garder le même intervenant après l’entrevue pour la poursuite de l’évaluation et/ou traitement ? - Qu’en est-il de la question du non verbal ? - La méthode doit-elle être utilisée de manière systématique et qu’entend-on par systématique ? | en_US |
dc.description.sponsorship | None | en_US |
dc.language.iso | FR | en_US |
dc.publisher | 0 | en_US |
dc.rights.uri | https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.0/be/ | en_US |
dc.title | Méthode d'entrevue d'investigation non-suggestive en contexte clinique: questions éthiques d'usage et de mésusage. (symposium) | en_US |
dc.type | Acte de conférence ou de colloque | en_US |
synhera.classification | Sciences sociales & comportementales, psychologie, pédagogie>>Traitement & psychologie clinique | en_US |
synhera.classification | Droit, criminologie & sciences politiques | en_US |
synhera.institution | HE de la Province de Namur | en_US |
dc.description.version | Oui | en_US |
dc.rights.holder | Bullens, Quentin | en_US |