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La réforme des comptes du secteur public en Belgique (1ère partie – Introduction)

dc.rights.licenseCC6en_US
dc.contributor.authorTSATSIS, Christos
dc.contributor.authorGhysels, Raymond
dc.contributor.authorPhan, Pascale
dc.date.accessioned2023-06-21T08:11:15Z
dc.date.available2023-06-21T08:11:15Z
dc.date.issued2012
dc.identifier.urihttps://luck.synhera.be/handle/123456789/1951
dc.description.abstractCet article est le premier d’une série de quatre articles de recherche consacrés à la réforme de la reddition des comptes et de l’organisation comptable du secteur public en Belgique et à sa transition d’une comptabilité camérale vers un système intégré de comptabilité patrimoniale et de comptabilité budgétaire à la lumière des IPSAS. Ce premier article aborde les motivations de la transition et le cadre de conceptuel (conceptual framework) pour la future comptabilité intégrée patrimoniale et budgétaire du secteur public. Cette réforme votée par le parlement belge en 2003 tarde en entrer en vigueur ;celle-ci est enfin prévue pour le 1er janvier 2012. Elle risque d’être à nouveau reportée. Ladite réforme, telle que voulue par les deux lois du 16 mai 2003 fixant les dispositions générales applicables aux budgets, au contrôle des subventions et à la comptabilité des communautés et des régions, ainsi qu'à l'organisation du contrôle de la Cour des comptes et par la loi du 22 mai 2003 portant organisation du budget et de la comptabilité de l'Etat, est historique. Cette recherche se veut critique. A cet effet, elle compare la ratio legis des trois lois précitées :1. avec une référence internationale, la Study 141 de l’International Federation of Accountants (3ème édition, janvier 2011) ;cette Study 14 se veut un guide pour toutes les entités de tous les secteurs publics, à travers le monde, devant concrétiser le passage de la comptabilité de caisse à la comptabilité d’exercice ;elle traite de tous les aspects conceptuels, techniques, organisationnels, humains, financiers, voire même culturels, auxquels ces entités sont confrontées pour mettre en oeuvre un système de comptabilité d'exercice et 2. avec une référence nationale, le rapport de la Cour des comptes de Belgique2 (5 janvier 2011) relatif à la préparation des organismes administratifs publics (OAP), des services administratifs à comptabilité autonome (SACA) et des entreprises d’État (EE)aux obligations comptables de la loi sur la comptabilité du 22 mai 2003 ;l’objet du rapport de la Cour est d’apprécier comment les services publics se préparent à la nouvelle législation et de sensibiliser toutes les parties concernées à l’intérêt de prendre, en temps voulu, les mesures organisationnelles, procédurales et juridiques qui s’imposent pour pouvoir garantir une application correcte des nouvelles règles. Ce premier article est suivi de trois autres :1. le deuxième article porte notamment sur des questions d’évaluation comptable (principles, recognition, valuation, etc.) et de périmètre comptable (consolidation, etc.), 2. le troisième article analyse plus en détail les composantes des rubriques d’actif, de passif et de résultats et enfin 3. le quatrième et dernier article examine les specific topics, tels que les questions de cash (chapter 9), intangible assets (chapter 10), impairment of assets (chapter 12), liabilities arising from social policy obligations (chapter 15) et presentation of budget information in financial statements (chapter 21).en_US
dc.description.abstractfrCet article est le premier d’une série de quatre articles de recherche consacrés à la réforme de la reddition des comptes et de l’organisation comptable du secteur public en Belgique et à sa transition d’une comptabilité camérale vers un système intégré de comptabilité patrimoniale et de comptabilité budgétaire à la lumière des IPSAS. Ce premier article aborde les motivations de la transition et le cadre de conceptuel (conceptual framework) pour la future comptabilité intégrée patrimoniale et budgétaire du secteur public. Cette réforme votée par le parlement belge en 2003 tarde en entrer en vigueur ;celle-ci est enfin prévue pour le 1er janvier 2012. Elle risque d’être à nouveau reportée. Ladite réforme, telle que voulue par les deux lois du 16 mai 2003 fixant les dispositions générales applicables aux budgets, au contrôle des subventions et à la comptabilité des communautés et des régions, ainsi qu'à l'organisation du contrôle de la Cour des comptes et par la loi du 22 mai 2003 portant organisation du budget et de la comptabilité de l'Etat, est historique. Cette recherche se veut critique. A cet effet, elle compare la ratio legis des trois lois précitées :1. avec une référence internationale, la Study 141 de l’International Federation of Accountants (3ème édition, janvier 2011) ;cette Study 14 se veut un guide pour toutes les entités de tous les secteurs publics, à travers le monde, devant concrétiser le passage de la comptabilité de caisse à la comptabilité d’exercice ;elle traite de tous les aspects conceptuels, techniques, organisationnels, humains, financiers, voire même culturels, auxquels ces entités sont confrontées pour mettre en oeuvre un système de comptabilité d'exercice et 2. avec une référence nationale, le rapport de la Cour des comptes de Belgique2 (5 janvier 2011) relatif à la préparation des organismes administratifs publics (OAP), des services administratifs à comptabilité autonome (SACA) et des entreprises d’État (EE)aux obligations comptables de la loi sur la comptabilité du 22 mai 2003 ;l’objet du rapport de la Cour est d’apprécier comment les services publics se préparent à la nouvelle législation et de sensibiliser toutes les parties concernées à l’intérêt de prendre, en temps voulu, les mesures organisationnelles, procédurales et juridiques qui s’imposent pour pouvoir garantir une application correcte des nouvelles règles. Ce premier article est suivi de trois autres :1. le deuxième article porte notamment sur des questions d’évaluation comptable (principles, recognition, valuation, etc.) et de périmètre comptable (consolidation, etc.), 2. le troisième article analyse plus en détail les composantes des rubriques d’actif, de passif et de résultats et enfin 3. le quatrième et dernier article examine les specific topics, tels que les questions de cash (chapter 9), intangible assets (chapter 10), impairment of assets (chapter 12), liabilities arising from social policy obligations (chapter 15) et presentation of budget information in financial statements (chapter 21).en_US
dc.description.sponsorshipNoneen_US
dc.format.mediumOTHen_US
dc.language.isoFRen_US
dc.publisherUniversité Libre de Bruxellesen_US
dc.publisherWorking Papers CEBen_US
dc.rights.urihttps://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.0/be/en_US
dc.subjectcomptabilité du secteur publicen_US
dc.subjectpublic sector accountingen_US
dc.subject.frcomptabilitéen_US
dc.subject.frsecteur publicen_US
dc.subject.frcomptabilité du secteur publicen_US
dc.titleLa réforme des comptes du secteur public en Belgique (1ère partie – Introduction)en_US
dc.title.frLa réforme des comptes du secteur public en Belgique (1ère partie – Introduction)en_US
dc.typeActe de conférence ou de colloqueen_US
synhera.classificationSciences économiques & de gestion>>Comptabilité & auditen_US
synhera.institutionHE Francisco Ferreren_US
synhera.otherinstitutionULBen_US
dc.description.versionNonen_US
dc.rights.holderUniversité Libre de Bruxellesen_US


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