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La simulation, un laboratoire pour accompagner le développement de compétences relationnelles ?

dc.rights.licenseCC0en_US
dc.contributor.authorSERVOTTE, Jean-Christophe
dc.contributor.authorVander Meulen, C.
dc.date.accessioned2020-11-30T20:43:05Z
dc.date.available2020-11-30T20:43:05Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.isbn978-2842762377en_US
dc.identifier.urihttps://luck.synhera.be/handle/123456789/432
dc.description.abstractDans la discipline infirmière, la théorie du Human caring (Watson, 1988, 2008) développe dix facteurs caratifs qui sous-tendent la démarche de soin. Un de ces facteurs concerne « le développement d’un système de valeurs altruites-humanistes ». La simulation représente-t-elle une opportunité pédagogique de développer des valeurs altruistes-humanistes, au sein de la démarche soignante ? Ce questionnement est actuellement mis à l’épreuve avec des étudiants du baccalauréat en soins infirmiers et sage-femme à la Haute Ecole Namur Liège Luxembourg, soit 190 étudiants. Le dispositif conçu vise le développement et l’analyse d’attitudes de caring correspondant en particulier au facteur caratif de l’humanisme. L’activité se déroule dans le centre de simulation de la Haute Ecole avec des étudiants bacheliers infirmier ou sage-femme du bloc 3 dans le cadre de leur unité d’enseignement « Ethique, anthropologie et sociologie ». Tout d’abord, un prébriefing invite les étudiants à revoir certains concepts théoriques du modèle de Watson (1988, 2008). Ensuite, trois séances de simulation s’articulent autour de situations de soin quotidiennes qui mettent en jeu des notions de respect, de sollicitude, d’accompagnement. Les patients sont joués par des volontaires alumni ou des professionnels de la santé partenaires. Après chaque séance de simulation, les participants analysent leurs attitudes « altruites-humanistes » de caring lors d’un débriefing. Ces attitudes « altruites-humanistes » sont décrites par l’Echelle d’Interactions Infirmière-Patient (EIIP, version infirmière, Cosette, 2006). L’aspect réalisable, « transférable » des attitudes de caring dans leur pratique professionnelle est ensuite questionné. Afin de répondre à la question de recherche, la population étudiante réalisera un pré-test sur les connaissances et s’auto-évaluera via l’Echelle d’Interactions Infirmière-Patient. Elle sera ensuite répartie en 2 groupes de manière aléatoire. Le groupe expérimental bénéficiera de la méthode pédagogique par simulation. Le groupe contrôle se rendra en stage clinique. Au terme de la formation, un post-test sera effectué sur l’ensemble de la population. Il portera à nouveau sur les connaissances et les attitudes de caring. Des résultats de la recherche seront présentés lors du congrès du GEFERS. Parmi les interrogations suscitées en équipe avec les enseignants impliqués dans le projet, nous pouvons rapporter un questionnement sur l’éthique du prendre soin au sein de la démarche infirmière ou sage-femme. Cette problématique rejoint celle de Hesbeen (1999) sur « les points de rencontre et les risques de confusion » entre le caring et le prendre soin (Hesbeen, 1999, p.1). en_US
dc.description.sponsorshipOTHen_US
dc.format.mediumBOOen_US
dc.language.isoFRen_US
dc.publisherSELI ARSLANen_US
dc.rights.urihttps://www.vuibert.fr/catalogue/seli-arslanen_US
dc.subjectsimulationen_US
dc.subjectcommunicationen_US
dc.subjectéthiqueen_US
dc.subjectcaringen_US
dc.titleLa simulation, un laboratoire pour accompagner le développement de compétences relationnelles ?en_US
dc.typeLivre/Ouvrage ou monographieen_US
synhera.classificationSciences de la santé humaineen_US
synhera.institutionHENALLUXen_US
dc.description.versionOuien_US
dc.rights.holderVuibert - SELI ARSLANen_US


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